jour), il m’a embarqué pour Édimbourg. Je ne pensais pas tomber sous le charme d’une ville autre que ma ville de Gand mais en fait, un coup de foudre plus grand n’a jamais existé. Depuis ma visite avec mister Love, je n’avais qu’une envie, c’était de retourner ! Et je me suis donné les moyens d’intégrer Edimbourg dans mon voyage de la semaine dernière.J’AI AIME
A peine arrivée, quelques plaisirs m’attendaient de pied ferme. Le Burger King (rhaaaa !! miaaaam !!) et mon hôtel avec chambre en duplex. Je me suis également empressée de retrouver mon endroit favori à Edimbourg ; le Starbucks de Princes Street. Je ne suis pas une buveuse de café ni de thé et je ne suis pas particulièrement fan du Starbucks mais celui-ci vaut plus que le détour. L’ambiance feutrée et la vue imp
renable sur le rocher du château en fait un lieu exceptionnel. J’ai pu tricoter en toute tranquillité quelques mailles avant de me coucher dans mon trop grand lit dans ma trop grande chambre d’hôtel.
Edimbourg est une ville tellement fascinante de par sa position géologique qu’elle n’est construite que de belles vues. Peu importe où on se trouve à Edimbourg, dès qu’on tourne la tête on s’émerveille. Entre les escaliers tombant du haut du rocher, le château majestueux, les « closes » fermés, les pubs hantés, le cimetière aussi beau qu’il n’est horrible, les ponts soudains, la nouvelle ville edwardienne,… A chaque clin d’œil une nouvelle image m’éblou
issait. Quel plaisir que de se perdre dans la ville. Descendre un escalier pour en remonter un autre, passer sous une maison pour se retrouver coincé dans une petite place fleurie, découvrir un pont là où on s’attendait à un tunnel,… Je ne me lasserai jamais de cette ville.
J’avais déjà fait la visite du cimetière l’année dernière en me faisant enfermer dans un mausolée à minuit dans une visite guidée des lieux hantés de la ville mais ça m’a fait plaisir de revoir ce cimetière en plein jour. C’est très étonnant de se dire que dans cet endroit vert en fertile se trouvent tellement d’histoire horribles et sanglantes.
Et au moment où mes tricopines se re-re-re-refaisaient un déjeuner chez Lil Weasel, j’ai eu le plaisir de découvrir le magasin K1yarn, magasin de laine et bonheur pour toute tricoteuse qui se respecte. La beauté de ce magasin était dans les laines locales. Tellement locales qu’il y avait des étiquettes écrites à la main ou imprimés sur de vieilles imprimantes. Enfin bon, de belles laines, un beau mur de pelotes, une gérante (américaine) très sympathique, tout ce qu’il faut pur être heureuse.
renable sur le rocher du château en fait un lieu exceptionnel. J’ai pu tricoter en toute tranquillité quelques mailles avant de me coucher dans mon trop grand lit dans ma trop grande chambre d’hôtel.Edimbourg est une ville tellement fascinante de par sa position géologique qu’elle n’est construite que de belles vues. Peu importe où on se trouve à Edimbourg, dès qu’on tourne la tête on s’émerveille. Entre les escaliers tombant du haut du rocher, le château majestueux, les « closes » fermés, les pubs hantés, le cimetière aussi beau qu’il n’est horrible, les ponts soudains, la nouvelle ville edwardienne,… A chaque clin d’œil une nouvelle image m’éblou
issait. Quel plaisir que de se perdre dans la ville. Descendre un escalier pour en remonter un autre, passer sous une maison pour se retrouver coincé dans une petite place fleurie, découvrir un pont là où on s’attendait à un tunnel,… Je ne me lasserai jamais de cette ville.J’avais déjà fait la visite du cimetière l’année dernière en me faisant enfermer dans un mausolée à minuit dans une visite guidée des lieux hantés de la ville mais ça m’a fait plaisir de revoir ce cimetière en plein jour. C’est très étonnant de se dire que dans cet endroit vert en fertile se trouvent tellement d’histoire horribles et sanglantes.
Et au moment où mes tricopines se re-re-re-refaisaient un déjeuner chez Lil Weasel, j’ai eu le plaisir de découvrir le magasin K1yarn, magasin de laine et bonheur pour toute tricoteuse qui se respecte. La beauté de ce magasin était dans les laines locales. Tellement locales qu’il y avait des étiquettes écrites à la main ou imprimés sur de vieilles imprimantes. Enfin bon, de belles laines, un beau mur de pelotes, une gérante (américaine) très sympathique, tout ce qu’il faut pur être heureuse.
Je ne parlerai pas du sublime "I Love Candy" où les mamies se bousculent l'accès des pots de bonbons à l'ancienne... Trop de calories... (vous pouvez commander en ligne ^^ )
J’AI PAS AIME
La visite des voutes de la ville. Edimbourg a plusieurs niveaux. Pour des raisons historiques et géologique, les maisons de la vieille ville montaient jusqu’à 14 étages et descendaient jusqu’à 7 étages sous terre. Cette « ville sous la ville » peut être visitée en suivant plusieurs visites guidées. J’avais choisi la visite organisée par Black Hart Entertainement, avec qui j’avais suivi l’horrifiante visite du cimetière de la ville l’année dernière et j’ai été déçue. J’avais déjà entendu ¾ des histoires et les voutes n’étaient pas aussi spectaculaires que je ne le pensais.
Par contre, j’ai beaucoup ri des teenagers terrorisées et du touriste américain qui a fini sa promenade à quatre pates dans la voute hantée à la recherche de ses clés de voitures J
LE TOP
Le jeudi, j’avais un programme de shopping très chargé ; j’avais pour pro
jet de visiter chacun des magasins de Princes Street, Rose Street et St James Shopping Hall, de façon aussi chaotique que possible pour me remplir les poches de DVD, d’habits et de bonbons mais j’ai eu UN GROS cheveux dans la soupe. Le pape a décidé d’en faire pareil. Non pas le shopping mais la visite de la nouvelle ville de Edimbourg.
NAAAAAAAAAAAANNNN !!!!!
Qu’est-ce qu’il avait à programmer sa visite en parallèle avec moi, non mais franchement quoi ?
J’étais vraiment, vraiment pas contente de voir l’annonce de la visite papale. Donc au moment où j’ai adressé l’agent de police pour avoir plus d’informations, vous imaginez bien que je n’étais pas de très bonne humeur. Heureusement, elle a su me remonter le moral en m’informant que la papamobile allait être précédée d’une parade de toutes les cornemuses de la ville et ses alentours.
OooOOOooooh !!! La cornemuse, ensemble avec l’accordéon, est mon instrument préféré. Même si, pour certains, la cornemuse
fait le bruit des ongles d’une institutrice sur un tableau, c’est le seul instrument qui sait me faire pleurer après trois notes.
Bref, j’ai donc eu la merveilleuse expérience d’une parade de cornemuses et d’écoliers ainsi que de la représentation de nombreux personnages historiques (Rob Roy, Ian Fleming,…) au pied du château d’Edimbourg, en plein automne indien. Que demander de plus pour couronner un tel voyage ?
Bon, après j’ai fait coucou au pape aussi bien sûr. Il faut le faire quand-même, une belge qui vit à Paris brandissant le drapeau écossais devant un pape allemand, ça ne se voit pas tout les jours J
Et le Haggis. Aaaah le Haggis, quel bonheur ! Le Haggis est le genre de plat dont il ne vaut mieux pas connaître les ingrédients, il faut juste fermer les yeux et profiter. Il s’agit d’un espèce de hachis parmentier avec une purée de pommes de terres sur un lit… euh… de tripes de mouton. Voilà voilà… et c’est délicieux. Ce plat est ce qu’on appelle du « comfort food ». Quand on en mange, on se sent bien. Ca nous réchauffe de l’intérieur et ça nous donne l’impression de retomber en enfance à manger de la bonne purée
faite maison près d’un feu de cheminé entouré de ceux qu’on aime.
Rien de tel, franchement, qu’un bon Haggis.
Et j’ai eu droit à DEUX Haggis. Le premier dans un pub en haut du Royal Mile et le deuxième chez « Clarinda’s », petit pub oublié tout au bout de ce même Royal Mile, après le « World’s End ». Petit pub avec des mamies qui servent du thé Darjeeling et des scones, avec des nappes crochetées, de la porcelaine bleu qui se bouscule une place au mur avec un portrait de la reine à 20 ans. Clarinda’s avec sa table des desserts. Hmmm… les desserts… Hmmm…
Bref, la Glorieuse Clarinda m’a servi un Haggis pour £ 5, ce qui est ridiculeusement petit comme prix pour une ville touristique comme Edimbourg. Et le Haggis débordait de mon assiette.
Peti
t plus en plus pour Clarinda, le restaurant/pub est tellement petit et tellement populaire que l’on doit partager sa nappe crochetée avec les prochains venus. J’ai donc rencontré les très mignons Dan & Melissa, jeunes mariés d’Edimbourg. Top !
J’AI PAS AIME
La visite des voutes de la ville. Edimbourg a plusieurs niveaux. Pour des raisons historiques et géologique, les maisons de la vieille ville montaient jusqu’à 14 étages et descendaient jusqu’à 7 étages sous terre. Cette « ville sous la ville » peut être visitée en suivant plusieurs visites guidées. J’avais choisi la visite organisée par Black Hart Entertainement, avec qui j’avais suivi l’horrifiante visite du cimetière de la ville l’année dernière et j’ai été déçue. J’avais déjà entendu ¾ des histoires et les voutes n’étaient pas aussi spectaculaires que je ne le pensais.
Par contre, j’ai beaucoup ri des teenagers terrorisées et du touriste américain qui a fini sa promenade à quatre pates dans la voute hantée à la recherche de ses clés de voitures J
LE TOP
Le jeudi, j’avais un programme de shopping très chargé ; j’avais pour pro
jet de visiter chacun des magasins de Princes Street, Rose Street et St James Shopping Hall, de façon aussi chaotique que possible pour me remplir les poches de DVD, d’habits et de bonbons mais j’ai eu UN GROS cheveux dans la soupe. Le pape a décidé d’en faire pareil. Non pas le shopping mais la visite de la nouvelle ville de Edimbourg.NAAAAAAAAAAAANNNN !!!!!
Qu’est-ce qu’il avait à programmer sa visite en parallèle avec moi, non mais franchement quoi ?
J’étais vraiment, vraiment pas contente de voir l’annonce de la visite papale. Donc au moment où j’ai adressé l’agent de police pour avoir plus d’informations, vous imaginez bien que je n’étais pas de très bonne humeur. Heureusement, elle a su me remonter le moral en m’informant que la papamobile allait être précédée d’une parade de toutes les cornemuses de la ville et ses alentours.
OooOOOooooh !!! La cornemuse, ensemble avec l’accordéon, est mon instrument préféré. Même si, pour certains, la cornemuse
fait le bruit des ongles d’une institutrice sur un tableau, c’est le seul instrument qui sait me faire pleurer après trois notes.Bref, j’ai donc eu la merveilleuse expérience d’une parade de cornemuses et d’écoliers ainsi que de la représentation de nombreux personnages historiques (Rob Roy, Ian Fleming,…) au pied du château d’Edimbourg, en plein automne indien. Que demander de plus pour couronner un tel voyage ?
Bon, après j’ai fait coucou au pape aussi bien sûr. Il faut le faire quand-même, une belge qui vit à Paris brandissant le drapeau écossais devant un pape allemand, ça ne se voit pas tout les jours J
Et le Haggis. Aaaah le Haggis, quel bonheur ! Le Haggis est le genre de plat dont il ne vaut mieux pas connaître les ingrédients, il faut juste fermer les yeux et profiter. Il s’agit d’un espèce de hachis parmentier avec une purée de pommes de terres sur un lit… euh… de tripes de mouton. Voilà voilà… et c’est délicieux. Ce plat est ce qu’on appelle du « comfort food ». Quand on en mange, on se sent bien. Ca nous réchauffe de l’intérieur et ça nous donne l’impression de retomber en enfance à manger de la bonne purée
faite maison près d’un feu de cheminé entouré de ceux qu’on aime.Rien de tel, franchement, qu’un bon Haggis.
Et j’ai eu droit à DEUX Haggis. Le premier dans un pub en haut du Royal Mile et le deuxième chez « Clarinda’s », petit pub oublié tout au bout de ce même Royal Mile, après le « World’s End ». Petit pub avec des mamies qui servent du thé Darjeeling et des scones, avec des nappes crochetées, de la porcelaine bleu qui se bouscule une place au mur avec un portrait de la reine à 20 ans. Clarinda’s avec sa table des desserts. Hmmm… les desserts… Hmmm…
Bref, la Glorieuse Clarinda m’a servi un Haggis pour £ 5, ce qui est ridiculeusement petit comme prix pour une ville touristique comme Edimbourg. Et le Haggis débordait de mon assiette.
Peti
t plus en plus pour Clarinda, le restaurant/pub est tellement petit et tellement populaire que l’on doit partager sa nappe crochetée avec les prochains venus. J’ai donc rencontré les très mignons Dan & Melissa, jeunes mariés d’Edimbourg. Top !LA FICHE
Edimbourg est connu chez les fans de Harry Potter pour l’inspiration qu’elle a offerte à JK Rowling pour plusieurs références des livres. Le château est devenu Hogwartz, Tom Riddle est enterré à Edimbourg,…
Pour faire plaisir à mes amies fan de Harry, je suis partie à la recherche de la tombe de Tom Riddle, justement, dans le Greyfriar’s Cemetary, le même cimetière où le poltergeist de Bloody McKenzi
e hante la Covenanter’s Prison (brrrr). Bref, je me suis retrouvée avec deux touristes canadiens à photographier la tombe de ce bon et cher Tom (père et fils) lorsque… soudainement… je me suis mise à danser une danse des plus malades. Les deux touristes m’ont regardé sauter dans tous les sens en hurlant « WASP ! WASP ! WASP ! ». J’avais une guêpe dans mon pantalon !!! Je sentais qu’une guêpe (qui me suivait depuis dix minutes) était monté par le bas de mon pantalon jusque sur ma cuisse et je sentais qu’elle était en train de planter son dard dans ma cuisse généreuse !!!
QUEL HORREUR !!
Heureusement, mon pantalon était assez large et j’ai pu le retrousser jusqu’en haut. Le gentil touriste a enlevé le dard de la guêpe et m’a regardé en me demandant s’il devait me sucer la cuisse (… grand moment de solitude ...). J’ai dit non mais je ne me suis pas arrêtée là car la guêpe était toujours dans mon pantalon ! Elle était en train de remonter petit à petit et il était impossible de la sortir de là.
Le pire jour de ma vie…
J’ai dû demander aux deux touristes de se retourner et j’ai dû baisser mon pantalon devant la tombe des deux Toms. Et, dans toute mon énervement et ma petite crise de panique, j’ai également baissé ma culotte…
Et oui, je me suis retrouvée fesses à l’air dans un cimetière hanté en écosse…
J’ai eu juste le temps de chasser la guêpe qui m’a fait super mal et de remonter mon pantalon avant l’arrivée d’un car de polonais qui voulaient prendre en photo la fameuse tombe de Tom Riddle.
Je vous laisse dix minutes pour arrêter de rire.
Moi j’en ris encore, il faut dire. Une semaine après, la piqure de la guêpe me gratte toujours et l’image de mes fesses nues dans ce cimetière me fait toujours une grosse crise de fou-rire.
Bref ! Edimbourg, c’est de la bombe de balle, moi je dis ! Allez-y, c’est à une heure de vol de Paris et le shopping est encore mieux qu’à Londres !
Edimbourg est connu chez les fans de Harry Potter pour l’inspiration qu’elle a offerte à JK Rowling pour plusieurs références des livres. Le château est devenu Hogwartz, Tom Riddle est enterré à Edimbourg,…
Pour faire plaisir à mes amies fan de Harry, je suis partie à la recherche de la tombe de Tom Riddle, justement, dans le Greyfriar’s Cemetary, le même cimetière où le poltergeist de Bloody McKenzi
e hante la Covenanter’s Prison (brrrr). Bref, je me suis retrouvée avec deux touristes canadiens à photographier la tombe de ce bon et cher Tom (père et fils) lorsque… soudainement… je me suis mise à danser une danse des plus malades. Les deux touristes m’ont regardé sauter dans tous les sens en hurlant « WASP ! WASP ! WASP ! ». J’avais une guêpe dans mon pantalon !!! Je sentais qu’une guêpe (qui me suivait depuis dix minutes) était monté par le bas de mon pantalon jusque sur ma cuisse et je sentais qu’elle était en train de planter son dard dans ma cuisse généreuse !!!QUEL HORREUR !!
Heureusement, mon pantalon était assez large et j’ai pu le retrousser jusqu’en haut. Le gentil touriste a enlevé le dard de la guêpe et m’a regardé en me demandant s’il devait me sucer la cuisse (… grand moment de solitude ...). J’ai dit non mais je ne me suis pas arrêtée là car la guêpe était toujours dans mon pantalon ! Elle était en train de remonter petit à petit et il était impossible de la sortir de là.
Le pire jour de ma vie…
J’ai dû demander aux deux touristes de se retourner et j’ai dû baisser mon pantalon devant la tombe des deux Toms. Et, dans toute mon énervement et ma petite crise de panique, j’ai également baissé ma culotte…
Et oui, je me suis retrouvée fesses à l’air dans un cimetière hanté en écosse…
J’ai eu juste le temps de chasser la guêpe qui m’a fait super mal et de remonter mon pantalon avant l’arrivée d’un car de polonais qui voulaient prendre en photo la fameuse tombe de Tom Riddle.
Je vous laisse dix minutes pour arrêter de rire.
Moi j’en ris encore, il faut dire. Une semaine après, la piqure de la guêpe me gratte toujours et l’image de mes fesses nues dans ce cimetière me fait toujours une grosse crise de fou-rire.
Bref ! Edimbourg, c’est de la bombe de balle, moi je dis ! Allez-y, c’est à une heure de vol de Paris et le shopping est encore mieux qu’à Londres !
MES FRAIS
2 nuits d'hôtel 4 étoiles, petit déjeuner inclus: £ 180
Transport aéroport-hôtel: £ 6
Mes repas: entre £ 5 et £ 15
A SAVOIR
Une heure de vol au départ de Charles de Gaulle
La ville peut être visité entièrement à pied mais prévoyez de bonne chaussures de grimpe ^^
La monnaie est le livre sterling mais les pièces et billets sont émis par la banque d'écosse. Ceux-ci sont valables dans le reste du Royaume Uni
2 commentaires:
dix minutes,
c'est pas assez pour arrêter de rire ! ^^
No! Your Kiding! Ben je suis pas déçue, pour des péripéties, c'est des péripéties!
C'est chouette de revoir Edimbourg
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